Séance photo terrasse. Aout 2009

Une fin d’après midi du mois d’Aout nous décidons de faire une séance photo sur la terrasse de notre lieu de villégiature, dans mon plus simple appareil juste vêtue d’une paire de chaussure je pose devant mon kokin nu.

Le vent était doux nous prenons tout notre temps rien ne pressai entre chaque prise nous regardons ensemble sur l’APN le dernier cliché pour voir le rendu.

Au fur et à mesure je m’apercevais que cela excitai mon photographe attitré mes poses furent de plus en plus subjective afin de le chauffer.

Assise sur une chaise de terrasse en fer j’ouvrai petit à petit mes cuisses au rythme des prises de vue, une fois bien ouverte mon désir fut récompenser,  le sexe de mon kokin dresser comme I m’excitai profondément,  pendant que nous regardions la dernière prise sans bouger de ma chaise je saisi ce barreau pour en constater la raideur, son gland était gros et lisse, ne pouvant y résister je l’entourai de mes lèvres préalablement humidifiées.

Doucement je montai et descendais le long de ce gland tout en branlant cette tige bien raide, de l’autre main je me caressai j’étais humide et chaude mon index montai et descendais en rythme.

Pour faire durer le plaisir je m’arrêta et lui demanda de continuer la séance photo, il repris son APN la queue lever au ciel moi toujours sur ma chaise chaude bouillante.

Je me mis en levrette sur cette chaise de façon à présenter mon abricot prêt à tout désirs.

Mon Kokin posa son APN saisi une chaise se posta assis derrière moi et commença à m’explorer du bout de ca langue, il montai et descendais de mon clito à mon petit trou, mes reins ondulais sous cette langue, de ces deux mains il écartai ma croupe ronde et offerte afin de bien me lécher partout.

Il s’attarda sur mon clito dur et sensible je jouis très vite et très fort sans attendre il se leva je sentais ca queue allez venir le long de mes fesses et puis le bout de son gland rentrer doucement dans mon vagin à petit coup de reins il était en moi au plus profond je sentais le renflement de  ca queue le long de ma paroi vaginale contracté de plaisir.

Tout en me prenant doucement il me caressai mes seins dressés comme deux obus qui vont exploser, j’écartai mes cuisses afin que je puisse saisir ces couilles trempés de ma cyprine, il joua longtemps à me prendre à différents rythmes et profondeur.

Je sentais ces mains se crisper de chaque coté de mes hanches, sont vas et viens se faisais plus prononcer mes contractions vaginales aussi, je jouis dans un long cri accompagner de ces éjaculations profondes.

Voilà encore une séance photo qui nous laisse un beau souvenir.